Contrat de prêt immobilier : comment un courtier peut m’aider à économiser ?

On peut considérer que le métier d’un courtier est plus qu’indispensable dans le cadre d’un prêt immobilier. En effet, même si tout le monde ne s’offre pas toujours ses services, personne parmi les emprunteurs qui en ont déjà pu profiter ne peut dire le contraire. Il s’agit, en fait, de l’intermédiaire qui joue le rôle d’un « avocat » pour l’emprunteur à chaque fois qu’il veut s’adresser à la banque avec qui il opère pour son prêt immobilier.
Ses exploits sont reconnus mondialement et c’est le genre de travail dont on ne peut pas se passer pour entreprendre de belles offres au profit de tout le monde. Nombreux sont les points sur quoi il peut intervenir. Dès l’ébauche du dossier, il peut entrer en scène. Tout d’abord, il peut faire des recommandations pour que le profil de l’emprunteur avec qui il travaille fasse l’effet attendu. Étant donné que la plupart d’entre eux collaborent avec les banques, ils savent très pertinemment ce que ces dernières veulent voir à travers d’un profil. De là, il peut également aider dans le choix des variantes à retenir pour les offres, les meilleures bien sûr. Un bon courtier se doit de connaître tout sur le domaine de l’immobilier :les nouveautés, les modifications ou encore les évolutions. Il est alors bien placé pour sélectionner les offres les plus intéressantes. Ce qui peut aussi le qualifier c’est son pouvoir de négociations.
Effectivement, c’est le plus important des qualités dont il est doté. En moyenne, il arrive à obtenir un prêt avec 2.90 % de taux d’emprunt sur une durée de 15 ans. En vérité, rares sont les simples personnes à pouvoir obtenir cela. Ses secrets, en fait, ce sont les « décotes particulières », une méthode avec laquelle il fait jouer son renom et la confiance que la banque place en elle pour garantir cette baisse, en ajout avec le profil de l’emprunteur. Pour les meilleurs, il atteint même un taux inférieur à 3 % sur une durée supérieure à 15 ans, ce qui est quasiment impossible.
Ce n’est pas tout, il peut parvenir à obtenir un taux d’assurance environnant les 10 % si normalement il représente 30 %. Les courtiers ne peuvent quémander ce genre de situation que s’il est face à un excellent profil. Vu que les banques cherchent à faire des profits en toute sécurité, elles ne peuvent pas se permettre d’écouter tout ce que le courtier ait à dire. Seulement, l’intervention d’un courtier pour ce genre de profil peut conduire à une économie estimable.
De la même façon, les indemnités de remboursement anticipé sont susceptibles d’être annulées, dans les moindres des cas, elles seront considérablement abaissées. Cette partie du prêt représente également un des moyens ayant été établis conventionnellement afin de sécuriser les investissements des banques. Elles ne sont jamais à l’abri des concurrences. Donc, si jamais l’emprunteur décide d’aller voir ailleurs pour une quelconque raison, au moins, les banques recevront une couverture.
Plusieurs banques tirent profit dans les frais de traitement et de suivi des dossiers. Elles sont dans leurs droits. Seulement, certains frappent très fort dans leur valeur, ce qui est un des paramètres pour lesquels l’emprunteur est réticent. Même si une offre est très intéressante sur le pont de vue « taux d’emprunt », des frais trop dispendieux la rendent désavantageuse. Pourtant, un courtier peut faire en sorte d’obtenir de bien moins chère grâce à ses négociations.
Tout cela contribue donc à faire économiser l’emprunteur d’une somme très importante qui peut atteindre des centaines de milliers d’euros. En outre, les avantages de se procurer les services d’un courtier résident dans le fait que l’emprunteur peut gagner un temps large. En temps normal, l’établissement du profil et le choix des offres représentent la partie qui domine le plus le temps de l’emprunteur. Mais avec un bon courtier, seule l’attente de la réponse de la banque risque d’être lente à moins qu’il intervienne quelque part.

Taux d’emprunt : pourquoi choisir un taux capé ?

Lorsqu’une personne décide de prendre un crédit immobilier, elle doit définir les différents points qui se rapporteront à son dossier. Elle fixera avec son banquier le montant de l’emprunt, sa durée ainsi que son taux. Ce dernier critère est très important car c’est un élément essentiel dans un crédit immobilier. Il permet de calculer les mensualités que le client devra payer sur plusieurs années. Celui-ci déterminera le type de taux qui conviendra à sa situation et doit faire des simulations si nécessaires. Il est difficile de changer les conditions d’un prêt déjà signé. Si jamais le client en fait la demande, son chargé de compte réclamera des frais correspondant à la renégociation des termes du contrat de prêt.
Le client peut choisir un prêt à taux fixe, car c’est une option qui permet de sécuriser son investissement. Une mensualité fixe est déterminée dès la signature du contrat. Il ne risque pas d’avoir de mauvaises surprises durant toute la durée de son crédit. Le problème avec un emprunt à taux fixe est qu’il coûte beaucoup plus cher qu’avec une autre offre. En majorité, la hausse est comprise entre 0,20 à 0,50%. Cette différence peut sembler infime mais quand l’emprunteur fera ses calculs, il pourra noter que cela représentera au final un montant non négligeable.
Si le client veut faire quelques économies, il est préférable qu’il choisisse le prêt à taux variable. Il a la particularité d’être défini à partir d’un taux de référence, qui peut baisser ou augmenter. Il est évident qu’une baisse permettra au client de faire des économies. De plus, avec un prêt à taux variable, l’emprunteur peut rembourser son crédit avant son terme, sans avoir à payer une pénalité. L’inconvénient majeur est que les mensualités ne sont pas définies à l’avance. Il est tout à fait possible que l’augmentation soit disproportionnée par rapport à ses prévisions. De plus, la conjoncture qui entoure le crédit immobilier a beaucoup changé depuis quelques années. Les taux actuels sont à un niveau très bas par rapport à ceux appliqués il y a une dizaine d’années environ. Une augmentation des taux est plus envisageable actuellement qu’une éventuelle baisse.
Mais si le client désire toujours choisir un prêt à taux variable, il peut alors prendre un prêt révisable capé. Avec ce système, le client peut limiter les effets d’une augmentation du taux de référence. En effet, dès la signature du contrat de prêt, les deux parties s’entendent pour limiter l’augmentation maximale du taux variable capé. Ainsi, même si l’indice de référence gagne plusieurs points, cela n’affectera pas énormément le crédit du client. Certains établissements bancaires disposent aussi de taux révisables capé à la hausse mais sans poser de limite en cas de baisse. Le client peut ainsi tirer les bénéfices d’une éventuelle baisse des taux de prêt. Mais même si cela augmente, il connaît à l’avance le montant maximum des mensualités qu’il doit payer. Pour permettre aux emprunteurs de mieux sécuriser leurs investissements, des banques ont instauré un tunnel de variation par rapport au taux en vigueur lors de la signature du contrat. Par exemple, si le client a signé un crédit avec un taux variable de 3%, et qu’il est capé de 1 point, ce taux sera toujours compris entre 2 à 4%. En contrepartie de ce privilège, la banque appliquera un taux initial plus élevé par rapport à un taux révisable non capé. Le taux capé présente alors plusieurs avantages par rapport à un taux variable non capé ou fixe. Non seulement le client fera un bénéfice certain s’il y a une baisse des taux, mais même si ceux-ci augmentent, il ne risque pas de voir ses mensualités atteindre des sommes vertigineuses.

Négocier mon taux : comment économiser sur un prêt immobilier ? 

Pour pouvoir économiser sur un prêt concernant un bien immobilier, il est nécessaire de bien négocier son taux d’emprunt dès la signature du contrat.
Les différents établissements financiers auprès desquels un client peut contracter des prêts immobiliers proposent des offres de prêt qui ne sont pas forcément les mêmes. Les différences se rapportent majoritairement sur les conditions et les taux de l’emprunt. De ce fait, le client doit bien comparer les taux de crédit présentés afin de trouver l’offre qui sera la plus avantageuse. Pour cela, il peut s’adresser directement aux différentes agences ou voir en ligne les sites qui confrontent les offres de crédit disponibles sur le marché financier.
Lors de la négociation d’un contrat de prêt, plusieurs critères sont pris en considération par les banques ou autres organismes financiers. Parmi les points importants, il y a l’apport financier dont dispose le client. Ce facteur lui permettra ainsi de négocier le taux de son prêt. Au cas où il n’a pas de liquidités suffisantes, il a la possibilité de faire un prêt à taux zéro auprès de l’Etat ou autres services étatiques comme les municipalités. Il pourra ensuite utiliser cet apport financier lors de la négociation de son taux de prêt immobilier.
Les banques proposent des taux de crédit variables ou fixes. Dans le cas où le taux est variable, il est important pour le client de savoir la marge appliquée par la banque et l’indice sur lequel elle calcule la variation du taux. En effet, il est plus avantageux pour l’emprunteur si la marge est peu élevée. Certaines offres de prêt immobilier à taux variable peuvent être « capées ». Cela signifie qu’un taux maximum est prévu dans le contrat. C’est une sécurité supplémentaire pour le client, sinon il risque de voir son taux variable augmenter considérablement.
La durée du prêt immobilier influe énormément sur le taux accordé par la banque. Plus la durée du contrat est importante, plus élevé sera le taux fixé dans le contrat de prêt. En effet, une majoration de 10% est appliquée entre un contrat de prêt d’une vingtaine d’années par rapport à un emprunt étalé sur dix ans seulement. Si le dossier du client se rapporte à un prêt d’une vingtaine d’années, il peut souscrire à deux emprunts emboités. Il aura alors un prêt d’une dizaine d’années et un autre d’une vingtaine d’années. Cette situation lui permettra de faire des économies conséquentes.
Lorsqu’on contracte un prêt immobilier, il est très important d’évaluer la durée de l’engagement. En effet, certaines situations peuvent subvenir entre temps et forcer le client à vendre le bien immobilier. Il devra alors rembourser en totalité le restant de l’argent qu’il doit encore à la banque avant le délai prévu. Cette situation occasionnera des frais supplémentaires qui s’élèvent à 3% du montant restant. Toutefois, lors de la signature du contrat de prêt, le client peut demander à sa banque de supprimer cette clause.
Un client doit aussi prendre une assurance décès quand il fait un crédit immobilier auprès d’un établissement bancaire. Il peut le faire directement auprès de sa banque ou s’adresser à une société d’assurance externe. Mais les assurances décès des banques ne prennent pas en considération l’âge du client et sont souvent plus onéreuses que celles des compagnies d’assurance. Il est alors recommandé de s’adresser à ces dernières pour avoir cette assurance à un prix avantageux.
Des frais de dossier sont taxés par les banques lors de la souscription d’un contrat de prêt immobilier. Ces frais se rapportent en particulier sur l’établissement du dossier même du client et ensuite de son suivi. Le client peut faire des économies sur les taux y afférant. Ceux-ci sont négociables, surtout si le dossier de prêt ne présente aucune complication majeure.